Elle s'appelle Marie. À 58 ans, elle est sophrologue à Saint-Benoît… et survivante. Mais réduire son histoire à ces quelques mots serait une injustice. Car ce que vous allez découvrir n’est pas simplement un récit de maladie : c’est une odyssée humaine, une traversée du feu, une aventure intérieure d’une intensité rare.
Marie n’est pas une héroïne lisse, toute en sourires et en formules toutes faites. Non. Elle est une femme de chair et de feu, faite de luttes, de doutes, d’éclats de colère et de fulgurances spirituelles. Une femme qui a accompagné la mort pendant vingt-cinq ans dans les hôpitaux, avant qu’elle ne vienne frapper à sa propre porte.
Cancer du sein, double mastectomie, récidive, chimiothérapie, douleurs insoutenables, abandon affectif, isolement social… mais aussi choix radicaux, décisions assumées envers et contre tous, renaissance spirituelle, reconquête du corps, de l’âme, de la paix.
Son témoignage est à la fois bouleversant et lumineux, subversif et apaisant. Vous y lirez la violence feutrée des hôpitaux, les maladresses du corps médical, les loyautés brisées, les amours qui s’effondrent, et cette solitude glaçante que connaissent celles qui refusent de se plier aux injonctions sociales. Mais vous y lirez aussi une résilience incroyable, une spiritualité bouleversante, une foi qui se construit dans les larmes et non dans les dogmes, une force tranquille qui émerge du chaos.
Marie ne vous dira pas comment guérir, ni comment faire face. Elle vous dira simplement ce qu’elle a vécu. Et vous verrez, ligne après ligne, que son histoire fait écho à la vôtre, même si vous n’avez jamais été malade. Car c’est un témoignage universel sur le courage d’être soi, coûte que coûte.
Et quand elle dit, à la fin : “Mon témoignage n’est pas une plainte. C’est un chant de vie.”, vous comprendrez que ce n’est pas une formule. C’est une promesse. Et une vérité. Prenez le temps. Lisez. Vivez cette traversée avec elle. A retrouver dans le Mag.
